Loin de moi l'envie de "refaire le match", mais , je ne sais
si vous vous êtes rendu compte comme l'intervention de
DSK rappelait celle d'un autre homme "léger" ?
Bill Clinton, le 17aout 1998 , ne s'est pas fait interviewer ,lui,
par une amie de son Hillary d'épouse .
Il avait fait une déclaration sans appel.
Du copier -coller de la plus belle eau .
Même argumentaire, même syntaxe et même
auto-compassion.
les équipes de communicants qui lui ont fait préparer
son intervention , ont raté leur mission.
Complètement rigide, aussi naturel
que le dernier lifting de Catherine Deneuve,
suant le mensonge par tous ses pores ,
il n'a pas convaincu , aidé par une Claire Chazal ,
faisant honte à la corporation des journalistes .
Elle n'a pas pas posé la seule question
qu'il fallait lui poser, à savoir :
"Que s'est il passé dans la suite du Sofitel?" .
Il semble n'avoir pas convaincu ,
même s'il a repris un tout petit peu de brillant
que lorsqu'il évoqua la Grèce .
Seul problème , c'est que ce n'était pas
le sujet de l'entretien.
Qu'il se taise , se fasse oublier ,et essaie de retenir
quelques leçons de sa malheureuse aventure
new-yorkaise .
Et toc!!!
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