jeudi 4 avril 2013

JE TROUVE QUE MONSIEUR PHILIPPE LABRO A RAISON .





"Quand il se regardait dans la glace, il était toujours tenté de l'essuyer." Cette citation de Jules Renard permet (peut-être) de mieux cerner la personnalité de Jérôme Cahuzac. Comme Dominique Strauss-Kahn, il se croyait intouchable. Comme lui, il se pensait à l'abri derrière son armée de communicants et d'avocats. Au point de dissimuler pendant vingt ans l'existence de comptes à l'étranger ? Au point de mentir pendant presque un an au président de la République et au Premier ministre. Philippe Labro se souvient... Des déclarations de l'ancien ministre du Budget, de son "body language", de sa morgue, de son comportement. Le cinéaste et écrivain fut le premier à préconiser qu'en France on enquête sérieusement sur le passé des hommes et des femmes que l'on nomme ministre, que l'on organise une véritable traçabilité des hommes politiques. Il s'interroge enfin sur la moralité d'un homme qui a menti à ce point : "Comment Cahuzac a-t-il pu accepter ce job alors qu'il avait les fesses aussi sales ?" Une question sans réponse. Jusqu'à quand ?

Que voulez vous rajouter de plus ???
Cahuzac et son "affaire va-t-il sonner le glas d'une certaine classe politique ?

Aucun commentaire: