" Mon Papa m'a dit qu'il fallait pas y aller!"
Est ce que , par hasard ,le bon sens serait revenu dans le cerveau de notre Impérial Agité?
Ce soir, Jean Sarkozy, le fils de Nicolas Sarkozy était l'invité du 20h de France 2.Jean Sarkozy, président du groupe UMP au conseil général des Hauts-de-Seine est au coeur d'une polémique depuis qu'il « allait » être nommé à la présidence de l'Etablissement public d'aménagement du quartier d'affaires de la Défense (Epad). Contre toute attente, le fils du chef d' l'Etat a indiqué qu'il renonçait à la présidence de l'Epad: « Je ne veux pas d'une victoire qui porte un tel soupçon. C'est ma décision bien entendu ». Jean Sarkozy a ajouté: « Est-ce que j'en ai parlé au Président? Non. Est-ce que j'en ai parlé à mon père? Oui. » Selon vous, quelles sont les raisons de cette décision?
Monsieur HAMON répond :
"Le président de la République a reculé sous la pression de l'indignation populaire et d'une immense majorité des Français", a déclaré M. Hamon à l'AFP peu après l'annonce par Jean Sarkozy sur France 2 qu'il ne briguerait pas la présidence de l'Epad.
"Le président de la République a demandé à son fils de renoncer à une fonction pour laquelle, manifestement, il n'était pas prêt" et relevait "du favoritisme évident", a ajouté le porte-parole.
"C'est bien qu'il soit revenu sur terre" et "ait reculé sur une décision qui était inacceptable et incompréhensible¨, a insisté M. Hamon.
Selon lui, "les arguments invoqués par l'UMP et par le président lui-même" pour défendre la candidature de Jean Sarkozy étaient en "totale contradiction avec les valeurs invoquées par le président de la République quand il parle de mérite, de travail "
"Le président de la République a demandé à son fils de renoncer à une fonction pour laquelle, manifestement, il n'était pas prêt" et relevait "du favoritisme évident", a ajouté le porte-parole.
"C'est bien qu'il soit revenu sur terre" et "ait reculé sur une décision qui était inacceptable et incompréhensible¨, a insisté M. Hamon.
Selon lui, "les arguments invoqués par l'UMP et par le président lui-même" pour défendre la candidature de Jean Sarkozy étaient en "totale contradiction avec les valeurs invoquées par le président de la République quand il parle de mérite, de travail "
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