ce qui veut dire que nous n'irons plus en n'Hongrie.
Le regretterons nous?
Je penserai ,toujours, à cette ville, avec une grande perplexité .
Je penserai ,toujours, à cette ville, avec une grande perplexité .
des affiches impossibles à déchiffrer ,
des vendeurs à la sauvette , à la sortie du métro ,
du gros monsieur qui dormait aux essais du grand prix de Hongrie , malgré le bruit tonitruant qui nous enveloppait,
du violoniste et de son petit chien dans le passage souterrain,
du momument des petites chaussures , au bord du Danube, commémorant , le martyre des enfants du ghetto de Budapest, en 1944,
de la si dérangeante Maison de la Terreur sur Andrassy Ut (avenue Andrassy),
des bains en plein air ,
d'une soirée de rêve à l'Opéra où l'on donnait , ce soir là , Carmen,
du Tokay bu sur le balcon de l'Opéra,
du concert de Paul Anka, merveilleux showman, enflammant une salle impréssionnée et enthousiaste,
de la tristesse de la ville au moment de Noël,
de l'impossibilité de communiquer avec ses habitants ,
de l'omniprésence de l'alcool chez les jeunes hongois;
de la majesté du Danube qui promène des bateaux de toutes tailles , sous les fenêtres de l'appartement de Damien,
de toutes les statues qui émaillent la ville et ses jardins,
du Musée LUMU, pratiquement vide ,
de Camille qui s'occupe de la librairie française , dans le quartier de la Grande Synagogue.
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