Le procès de Youssof Fofana et de son gang de " barbares" s’est déroulé à huis-clos,car deux des vint-six accusés avaient moins de 18 ans au moment des faits.
Après les réquisitions de l’avocat général Philippe Bilger (qui ,par sa pratique exceptionnelle des prétoires, a unanimement rallié les parties à ses réquisitions), réclamant « la peine maximale à l’encontre de Fofana, le verdict est tombé.
Après les réquisitions de l’avocat général Philippe Bilger (qui ,par sa pratique exceptionnelle des prétoires, a unanimement rallié les parties à ses réquisitions), réclamant « la peine maximale à l’encontre de Fofana, le verdict est tombé.
A la sortie du prétoire , maître Spizner , avocat de la famille Halimi a crié son désarroi , suite au verdict.
Fofana est condamné à la réclusion perpétuelle ,assortie d’une peine de sureté de vingt deux ans, soit la peine maximale. Pour ses co-accusés les peines s’échelonnent entre des peines allant de six mois de prison, avec sursis, à 18 ans de réclusion.
Et, hier, à la sortie du Conseil des ministres, MAM, Garde des Sceaux , a annoncé que le procès va être rejugé .Et ce, à la suite des pressions, des déclarations de la Mère de Illian Halimi qui estime les peines prononcées insuffisantes.
Compte tenu de la barbarie qui a présidé à la mort et au calvaire sans nom subis par son Fils, le cri poussé par cette femme peut se comprendre.
Mais, et un MAIS de taille.
Un jury populaire composé de jurés qui, en leur « âme et conscience » a jugé, prononcé les peines, après deux mois et demi de procès, se voit désavoué . C 'est grave !
Fofana est condamné à la réclusion perpétuelle ,assortie d’une peine de sureté de vingt deux ans, soit la peine maximale. Pour ses co-accusés les peines s’échelonnent entre des peines allant de six mois de prison, avec sursis, à 18 ans de réclusion.
Et, hier, à la sortie du Conseil des ministres, MAM, Garde des Sceaux , a annoncé que le procès va être rejugé .Et ce, à la suite des pressions, des déclarations de la Mère de Illian Halimi qui estime les peines prononcées insuffisantes.
Compte tenu de la barbarie qui a présidé à la mort et au calvaire sans nom subis par son Fils, le cri poussé par cette femme peut se comprendre.
Mais, et un MAIS de taille.
Un jury populaire composé de jurés qui, en leur « âme et conscience » a jugé, prononcé les peines, après deux mois et demi de procès, se voit désavoué . C 'est grave !
Le Droit a été dit .
La Justice a passé.
Une décision de justice n’est pas un article « satisfait ou remboursé »et le désespoir d’une Mère ne peut pas, à ce point influer le déroulement de la justice.
La justice n’est pas un super marché où chacun fait ses courses des peines qui lui convient.
La justice n’est pas un super marché où chacun fait ses courses des peines qui lui convient.
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