Mercredi, François Fillon s'est livré à l'exercice périlleux du discours de politique générale , devant l'Assemblée Nationale , alors qu'au même moment Alain Juppé lisait le discours devant les sénateurs .A l'Assemblée , le discours a été approuvé par 326 voix contre 226 .
Au Sénat, il a été crédité de 180 voix contre 136.
Il s'est présenté contre l'homme fort de l'éxécutif .
Pour lui, "Renoncer, douter, serait se parjurer devant l'Histoire".
Peu de surprises dans ce discours.
Il a détaillé les grandes réformes qui attendent les Français , pour les dix-huit mois à venir.
Il a attiré notre attention sur:
-l'emploi des jeunes et apprentissage
-la lutte contre les déficits et la fiscalité
-les jurés populiares et le rôle du parquet
-la politique étrangère et le G20.
Bon, rien de bien neuf ? Non?
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