Il est assez rare que des films en compétition à Cannes, sortent, en même temps en salle.
Cette année, ne boudons pas notre plaisir, nous pouvons prendre connaissance de deux films, en compèt’.
« Vengeance » de John TO avec notre JOJO national, dans le rôle d’un ancien tueur professionnel débarquant à Hong Kong !
D’un côté le maitre incontesté du thriller virtuose made in Hong Kong, dont le diptype "Election" ou encore le tour de force de "Breaking News" sont restés dans toutes les mémoires.
Au programme, action, violence, amitié, mélancolie.
Mais notre JOJO, le cheveu teint en acajou clair, la gueule (« quoi, ma gueule ? ») ravinée, les yeux bleus clairs n’est pas crédible, mais pas du tout, dans ce film violent, assez esthétique, mais la mayonnaise ne prend pas.
« Etreintes brisées » de Pedro ALMODOVAR, avec la radieuse Pénélope CRUZ, est, en revanche, une splendeur.
Devenu aveugle, à la suite d’un accident ayant couté la vie à la femme qu’il aimait, un homme tente de se réfugier dans les fictions qu’il écrit et imagine, à longueur de journées.
Plus qu’aucun autre de ses autres films, les « Etreintes brisées » exige qu’on le découvre dans les conditions les plus vierges possible .Almodovar y mélange les genres, les émotions et les niveaux de réalité jusqu’au point d’une fusion absolue , et qu’ui résonne comme une des plus belles déclarations d’amour jamais adressées par un cinéaste à son art, cet art qui lui a sauvé la mort.
Cette année, ne boudons pas notre plaisir, nous pouvons prendre connaissance de deux films, en compèt’.
« Vengeance » de John TO avec notre JOJO national, dans le rôle d’un ancien tueur professionnel débarquant à Hong Kong !
D’un côté le maitre incontesté du thriller virtuose made in Hong Kong, dont le diptype "Election" ou encore le tour de force de "Breaking News" sont restés dans toutes les mémoires.
Au programme, action, violence, amitié, mélancolie.
Mais notre JOJO, le cheveu teint en acajou clair, la gueule (« quoi, ma gueule ? ») ravinée, les yeux bleus clairs n’est pas crédible, mais pas du tout, dans ce film violent, assez esthétique, mais la mayonnaise ne prend pas.
« Etreintes brisées » de Pedro ALMODOVAR, avec la radieuse Pénélope CRUZ, est, en revanche, une splendeur.
Devenu aveugle, à la suite d’un accident ayant couté la vie à la femme qu’il aimait, un homme tente de se réfugier dans les fictions qu’il écrit et imagine, à longueur de journées.
Plus qu’aucun autre de ses autres films, les « Etreintes brisées » exige qu’on le découvre dans les conditions les plus vierges possible .Almodovar y mélange les genres, les émotions et les niveaux de réalité jusqu’au point d’une fusion absolue , et qu’ui résonne comme une des plus belles déclarations d’amour jamais adressées par un cinéaste à son art, cet art qui lui a sauvé la mort.
Sublime, si vous n'avez pas la palme d'or , monsieur ALMODOVAR, je rends ma carte UGC !!
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